Hacker's Revenge
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


De l’action, de l’intrigue et une bonne dose d’humour. Entre la saga des Die Hard, Opération Espadon et Braquage à l’italienne venez prendre part a cette course contre le temps, où seul l’argent et votre faculté a vous sortir du merdier sont de rigueur.
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Réassort du coffret Pokémon 151 Électhor-ex : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian]

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Judith Sparrow
¤ Savage Woman ¤
Judith Sparrow


Féminin Nombre de messages : 12
Age du perso : 24 ans
Localisation : Sur les routes, baby !
Métier (talent particulier) : Drivers
<u><b>Casier Judiciaire</b></ : Trois mois de prison pour conduite en état d'ivresse, un mois avec sursis pour non port de la ceinture, deux mois pour excès de vitesse agravée. Un mois avec sursis pour outrage à agent. Un an de prison ferme pour recel de matériel volé, puis trois ans de prison pour passage de drogue à la frontière, relachée pour bonne conduite.
<b><u>Relations</u></b> : Son père est mort, elle ignore où se trouve sa mère.
Bosse pour Julian avec qui elle entretient une relations plutôt houleuse. L'aime-t-elle ? Ne l'aime-t-elle pas ? Est-ce uniquement de l'attirance ? Dans ce cas, pourquoi tue-t-elle toutes les conquètes d'un soir de Julian ? ^^

Controleur Judiciaire
Notoriété:
Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] 37179188ua20/100Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] 96534485ww6  (0/100)

Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] Empty
MessageSujet: Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian]   Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] Icon_minitimeJeu 19 Juin - 20:23

Une brise suffocante. La chaleur de l'été dardait déjà ses rayons sur le bas monde. Une chaleur que même les bestioles les plus endurantes cherchaient à fuir. Une route sablonneuse conduisait au repère de l'homme le plus traqué sans doute de tous les Etats-Unis... Julian Van Pelt. Un petit point sur cette route. Ce point grandit. Et le bruit assourdissant avec lui. On le distingue très mal, avec la chaleur, la réverbération rend les détails flous. Au bout de quelques instants, une silhouette se dessine. Un motard. A la silhouette, on reconnait une femme. La moto, poussée à fond traverse la route à une vitesse éffroyable. Nul besoin d'être un professionnel pour se douter qu'elle a été débridée... La femme aux commandes semble sûre d'elle. Pour contrôler une moto à cette vitesse, vous avez intérêt à ne pas hésiter ! La moto poursuit sa course folle à travers la plaine. Des heures passent, défilent jusqu'à l'apparition d'une riche villa, construite récemment à ce qu'il paraît. La moto ralentit. Une haute grille ornée de caméras de surveillance et gardée par deux vigiles lourds comme des gorilles arrête la motarde (chais pas si ça se dit ça... ^^). Elle stoppe sa moto devant et descend. Elle ôte son casque. Une cascade de cheveux noirs coule dans son dos. Son visage d'ange revête une attitude mutine qu'elle garde en permanance. Elle pose son casque sur le siège de sa bécane et fait un clin d'oeil aux deux monstres impassibles. De la peur, elle ? Elle ne connaît pas la définition.

Salut mes jolis. Pas trop chaud ?

Le dernier mot prononcé de sa voix aguichante et de ses lèvres pulpeuses semble réveiller les deux mastodontes. Un air géné s'affiche sur leurs visages. Des instructions, ils en ont reçu mais le patron a été formel. Elle a le droit d'entrer. Aussi après avoir fait signe à la caméra, les grilles s'ouvrent-elles. Judith leur fait un clin d'oeil qui a l'air de les laisser perplexe. Puis, elle franchit les grilles, non sans avoir envoyer un baiser vers la caméra de surveillance qui a l'impudence de la suivre. Elle est enfin admise dans la villa. Partout des gorilles avec des chiens. Une vraie ménagerie ^^. Les hommes, à chacun de ses passages, parlent dans leurs talkie et Judith sait que ce n'est pas parcequ'elle leur plait. Mais elle s'en fiche. Si Julian prend autant de précautions pour sa sécurité, c'est qu'il a les moyens. Et donc, qu'il paye bien... Judith continue donc sa marche. Elle entre dans le coeur meme de la villa. Une grande pièce, somptueuse, se révèle à ses yeux. Elle n'exprime son approbation devant tant de bon goût que par le haussement d'un sourcil. Cette pièce semble être celle où l'on reçoit les étrangers. Des caméras partout -il se croit dans un épisode de télé-réalité ou quoi ? ^^- des vigiles, discrets mais présents à chaque entrée ou fenêtre... Judith n'en tient aucunement compte et choisit le plus beau fauteil pour s'installer. Sûrement celui de Julian. Et alors ? Elle pose ses deux pieds sur la table basse devant elle.

Ses bottes remontent jusqu'en dessous de ses genoux et sont de cuirs. Son pantalon noir est rentré dans celles-ci. Un haut noir, simple, se révèle sous le manteau de cuir court et cintré qu'elle porte sur les épaules. Sans compter les lunettes de soleil, style Ray Ban, qu'elle n'a toujours pas retiré. Elle repense à son passé. A ce père qu'elle a perdu sans pouvoir rien y faire. Souvent elle regrette. Il est le seul qui l'a jamais aimé. Et il l'a laissé. Parti... Judith étouffe ses sentiments qui remontent en elle. Elle a toujours méprisé la faiblesse. Elle ne va pas commencé à l'accepter aujourd'hui. Ce qui est fait est fait et cela ne vaut rien de regarder derrière soit. Mieux vaut regarder devant...
Elle se demande combien Julian est prêt à lui proposer pour ses services. Sans doute beaucoup. Une femme sûre de nos jours, c'est rare... Elle entend un bruit et tourne la tête. Il est là. Il l'observe. Julian Van Pelt. Devant elle. Il la regarde, et semble la mesurer, la jauger. Elle lui rend son regard bien qu'avec ses lunettes, cela ne doit certainement pas se remarquer. Elle se doute bien que les pieds sur la table, surtout sur une table qui vaut si chère, cela ne doit pas être très bien vu. Un sourire s'étend sur son visage. Et... elle ne les retire pas. Elle attend, silencieuse. Ah, si. Un geste tout de même de bonne conduite. Elle retire ses lunettes, ses yeux d'un bleu perçant se fixant sur le maître des lieux. Et sa voix retentit :

Salut beau brun. Je suppose que c'est toi le patron ?

Revenir en haut Aller en bas
Julian Van Pelt
¤ Blackhearted Traitor ¤
Julian Van Pelt


Masculin Nombre de messages : 156
<u><b>Casier Judiciaire</b></ : Vol avec effraction - Faux et usage de Faux - Piratage informatique de la Banque Nationale Britannique

\"Affaires\" en cours, mais sans arrestation: Traffic d'armes (principalement) et affaires avec quelques barons de la drogue colombiens.
<b><u>Relations</u></b> : Adam Gordon - Son neveu
Miguel Vasquez - Une connaissance

Une haine farouche vis à vis des Lancaster, de Cooper et de quiconque rejoint leurs rangs.
Bien entendu, aucun criminel n'aime les forces de l'ordre (enfin, les forces de l'ordre intègres, du moins. Les corrompus, c'est une autre histoire)

Judith Sparrow se voit accorder ses faveurs de temps à autre... Ce qui n'est pas le cas de tous les contacts de cette dernière.

Controleur Judiciaire
Notoriété:
Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] 37179188ua246/100Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] 96534485ww6  (46/100)

Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] Empty
MessageSujet: Re: Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian]   Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] Icon_minitimeVen 20 Juin - 18:31

Traquer, tuer, engager, protéger... Protéger quoi? Son argent bien entendu, unique chose au monde dont l'odeur est plaisante aux narines de Van Pelt... La seule note pouvant prétendre à une quelconque musicalité à son oreille était soit le son des compteurs automatiques de billets. Ou encore le déclic d'une arme dont on libère le chien avant de faire feu, se débarassant ainsi des traîtres et des gêneurs...

Ce matin, ni l'un ni l'autre n'était venu percuter son tympan, et Julian en était presque frustré... Quel ennui.. Mais il ne pouvait se permettre le luxe de trop se faire remarquer, et les traîtres n'étaient plus si monnaie courante désormais; sans doute les avait-il suffisamment (finalement?) impressionné ou intimidés pour les forcer au silence... Dommage.
Pendant un moment, surtout à l'engagement des gardes principaux de la villa, il lui avait été agréable de faire passer quelques exemples à ces mercenaires surarmés. Ainsi, ils n'oubliaient pas qui avait le pouvoir entre ses murs; cet argument, plus un cachet onéreux suffit à s'assurer leur fidélité. L'homme n'avait pas à se plaindre, il avait ce qu'il voulait, et jusqu'à présent, tout allait bien...

Seulement voilà: Gabriel, Sam et Rachel (sans compter leur clique personnelle d'emmerdeurs de première) étaient de retour sur le marché, et non plus bien à l'abri dans une cellule de 6 mètres sur 3. Les choses sérieuses reprenaient, et c'était pour le premier qui s'assurerait les services de l'élite du milieu.
L'un des espions de Julian lui avait signalé l'existence d'une pro de la route, et ce dernier, après maintes vérifications d'identité et du passif de l'intéressée, avait trouvé un moyen impossible à tracer de la joindre, l'invitant dans la propriété pour un entretien. Soit. Il avait été très strict avec la sécurité, garantissant un passe droit à la jeune femme, future employée, peut-être. Il n'aimait pas les profils, il préférait de loin juger par lui-même.

Un homme de main vint l'informer que la jeune personne l'attendait dans le petit salon, et il se leva de suite, sans même remercier l'homme. Après tout, vu le salaire que Julian lui payait, il pouvait bien se permettre d'être impoli, non? Surtout qu'il n'oserait faire la remarque, sachant parfaitement de quoi son patron était capable une fois en colère.

Dehors, la chaleur devait être étouffante, mais l'intérieur de la villa blanche respirait au rythme du souffle délicat de l'air conditionné. Un minimum, quand on a autant d'argent. Le maître des lieux était vêtu d'un pantalon et d'une veste noirs, la veste étant déboutonnée et ouverte sur un dessous de corps des plus simple. Cela, le teint halé de sa peau et son bouc et cheveux longs donnèrent un air légèrement exotique à ce jeune homme de 35 ans. Il savait être simple, tout en gardant un maximum de classe, comme il se plaisait à le faire remarquer lorsqu'il était réellement de bonne humeur.

Il arriva silencieusement au petit salon, congédia son employé et observa la jeune femme... A vrai dire, il observa le demi-profil de la jeune femme. Sa tenue assurée sur le meilleur fauteuil qu'elle devait deviner comme étant son favori; ses bottes posées sur la table, n'attendant qu'une chose, c'est qu'on les force à en descendre. Pendant un instant, Julian oublia le travail et laissa ses yeux parcourir la fine ligne des jambes de la jeune femme assise chez lui. Une silhouette élancée, des formes féminines on ne peut plus appréciées... Très vite, il passa en revue toutes les applications possible à ce corps féminin. Rapidité, maîtrise de soi, maîtrise de la route, sans doute même un bon rapport en matière de combat... entre autres.

Tout ceci ne fit que s'accroître lorsque leurs regards se croisèrent. Et il fut convaincu: jamais il n'avait vu telle passion, telle détermination dans deux orbes chocolat, il fallait qu'il l'ait à son service. S'il ne pouvait avoir pareille femme, personne ne pourrait, c'était une promesse qu'il se fit intérieurement.


Salut beau brun. Je suppose que c'est toi le patron ?

Julian n'esquissa même pas un sourire, mais la scruta d'autant plus attentivement sous cet angle nouveau. Puis, il se décida à faire un pas un avant, puis deux, tout en gardant machinalement une main en poche, et s'approcha finalement de celle qu'il posséderait bientôt, d'une manière ou d'une autre.

"Dans tous les sens du terme. Miss Sparrow, j'imagine?"

Cette question était pure rhétorique, il connaissait déjà la réponse. Après tout, nul ne se voyait accorder une entrevue sans avoir été vérifié, re vérifié... Il attendit patiemment (ô rareté) qu'elle poursuive la conversation. Ce qu'il avait à lui proposer viendrait en temps et en heure, il préférait juger de son attitude, qui jusque là le délectait.
Revenir en haut Aller en bas
https://hackers-revenge.forums-actifs.com/passeports-admis-f39/ju
Judith Sparrow
¤ Savage Woman ¤
Judith Sparrow


Féminin Nombre de messages : 12
Age du perso : 24 ans
Localisation : Sur les routes, baby !
Métier (talent particulier) : Drivers
<u><b>Casier Judiciaire</b></ : Trois mois de prison pour conduite en état d'ivresse, un mois avec sursis pour non port de la ceinture, deux mois pour excès de vitesse agravée. Un mois avec sursis pour outrage à agent. Un an de prison ferme pour recel de matériel volé, puis trois ans de prison pour passage de drogue à la frontière, relachée pour bonne conduite.
<b><u>Relations</u></b> : Son père est mort, elle ignore où se trouve sa mère.
Bosse pour Julian avec qui elle entretient une relations plutôt houleuse. L'aime-t-elle ? Ne l'aime-t-elle pas ? Est-ce uniquement de l'attirance ? Dans ce cas, pourquoi tue-t-elle toutes les conquètes d'un soir de Julian ? ^^

Controleur Judiciaire
Notoriété:
Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] 37179188ua20/100Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] 96534485ww6  (0/100)

Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] Empty
MessageSujet: Re: Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian]   Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] Icon_minitimeVen 20 Juin - 18:52

Judith avait négligement bougé du fauteil. Pas qu'elle s'inquiétait de la réaction que Julian pourrait avoir, bien au contraire. Tout dans son attitude reflétait la provocation. Elle ne fonctionnait que de cette manière. Et elle savait pertinement que ce beau brun avait terriblement besoin de ses services. Le chat joue bien avec la souris avant de la dévorer, non ? Ici, on pouvait se demander qui était le chat et qui était la souris. Judith détailla le visage de l'homme qui s'était rapproché d'elle. Un visage fin et délicat. Un bouc et des cheveux longs. Hum... Julian était à la hauteur de sa réputation. D'une beauté sans pareille. On devinait cependant le danger à fréquenter un tel homme. Et ça tombait bien, le danger, Judith adorait cela. Jouer avec le feu. Et elle sentait qu'elle avait trouvé un adversaire (partenaire ?) à sa mesure.
Lorsqu'elle plongea son regard dans celui de Julian, elle crut percevoir une lueur d'envie dans ses yeux chocolats. Un sourire se dessina sur ses lèvres pulpeuses. Elle avait l'habitude que les hommes l'observent avec envie, mais là, c'était différent. Doucement, n'allons pas trop vite. N'abattons pas tout de suite le jeu... La jeune femme surprit le regard de Julian qui glissait le long de ses jambes. Un frisson délicieux la parcourut. Bien entendu, tout cela ne s'était pas vu. Face à un homme comme Julian, s'abandonner était deux fois plus dangereux.
Judith lui rendit son regard, ses yeux glissant sur le corps admirablement musclé du chef des lieux, s'arrêtant sur divers endroits. Puis, elle se mordit la lèvre inférieure, de manière tout à fait voulue. Elle tourna la tête et aperçut un paquet de cigarette posée sur la table. Elle tendit négligement la main. Son geste ressemblait fort à l'étirement d'un félin. Elle attrapa la cigarette et l'alluma. Puis, elle souffla un panache de fumée.
Au bout d'un instant, Julian lui répondit. Judith savait pertinement que sa question était purement rhétorique, aussi se contenta-t-elle d'un hochement de tête d'assentiment.
Elle daigna enfin se lever du fauteil et se rapprocha de Julian. Plus que de raison, d'ailleurs. Son visage s'arrêta tout près de celui de l'homme. La lueur mutine n'avait toujours pas quitté le regard de la belle. Sa voix s'éleva dans le silence de la pièce.

Je n'aime pas y aller par quatre chemins alors allons droit au but. Vous avez besoin de mes services. Et moi j'ai besoin d'argent. Ca fait deux bonnes raisons de nous associer. Je ne travaille jamais à moins de 200 000 dollars par mois. On raconte que vous avez mis la main sur un joli pactole. Comme vous êtes un homme prévoyant, je suppose qu'en le faisant fructifier, vous avez du enrichir grandement votre capital. Mon salaire me parait donc largement raisonnable. Concernant mes qualités, je conduit toutes sortes de véhicules. Moto, voitures, camion, tout ce que vous voulez. Je peux vous aider à vous enfuir si la flicaille vous colle à vos jolies fesses ou trimballer votre coke si vous voulez la vendre à l'étranger. J'accepte tout travail, du moment que c'est bien payé. C'est à prendre ou à laisser.

Judith lacha une dernière bouffée de fumée près du visage de Julian. Elle avait parfaitement connaissanced du caractère de Julian. Elle savait que si sa conduite ne lui plaisait pas, ce n'était pas parcequ'elle était une femme, qu'il hésiterait à lui coller une balle dans la tête. Ne serait-ce que pour s'assurer qu'elle ne divulgue pas à ses ennemis des informations qu'elle aurait trouvé ici. Elle jouait donc à pile ou face. Mais elle n'a toujours aucune peur. Elle observe encore Julian. Hum, certaines pensées mutines lui effleurent déjà l'esprit. Elle surprend la même lueur dans le regard de Julian et rétorque dans un murmure :

T'emballes pas, chéri. D'abord l'effort, après le réconfort.

Judith avait beau être une croqueuse d'hommes, elle avait les pieds sur terre. D'abord signer le contrat. Noir sur blanc. Après peut-être pourraient-ils jouer à un jeu plus plaisant... Elle fit demi-tour et s'installa cette fois dans le grand canapé, reposant une fois de plus ses pieds sur la table. Et son sourire illumina une fois encore son visage.
Revenir en haut Aller en bas
Julian Van Pelt
¤ Blackhearted Traitor ¤
Julian Van Pelt


Masculin Nombre de messages : 156
<u><b>Casier Judiciaire</b></ : Vol avec effraction - Faux et usage de Faux - Piratage informatique de la Banque Nationale Britannique

\"Affaires\" en cours, mais sans arrestation: Traffic d'armes (principalement) et affaires avec quelques barons de la drogue colombiens.
<b><u>Relations</u></b> : Adam Gordon - Son neveu
Miguel Vasquez - Une connaissance

Une haine farouche vis à vis des Lancaster, de Cooper et de quiconque rejoint leurs rangs.
Bien entendu, aucun criminel n'aime les forces de l'ordre (enfin, les forces de l'ordre intègres, du moins. Les corrompus, c'est une autre histoire)

Judith Sparrow se voit accorder ses faveurs de temps à autre... Ce qui n'est pas le cas de tous les contacts de cette dernière.

Controleur Judiciaire
Notoriété:
Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] 37179188ua246/100Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] 96534485ww6  (46/100)

Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] Empty
MessageSujet: Re: Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian]   Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] Icon_minitimeSam 21 Juin - 16:41

Julian trouvait cette femme plaisante... à tous niveaux. Elle savait aller droit au but, n'avait pas froid aux yeux, alors qu'il y a avait dans la propriété une armée entière de personnes qui n'attendaient qu'un geste de sa part pour le débarrasser d'elle. En particulier un agent, le même qui était venu le chercher, qui n'attendait qu'un seul geste pour sortir de l'ombre et mener deux gorilles qui empoigneraient la jeune femme pour "l'aider" à sortir, proposant galamment de la raccompagner à sa moto, laquelle un sabotage savamment dissimulé assurerait à la jeune femme une mort rapide dans un virage pris à une vitesse tout aussi fulgurante. Mais l'heure n'était pas à cela. Julian tendit le bras et l'agent apparu, déposant un dossier dans la main de son patron, n'osant le regarder en face. Faisant quelques pas à reculons, il sortit à nouveau du champ de vision des deux protagonistes.

Jetant un coup d'œil distrait au casier judiciaire (obtenu par on-ne-dira-pas-quelle-source, bien sûr), Julian perçut soudain un mouvement significatif dans la position de la jeune femme. Il la regarda tirer un peu sur une cigarette qui se trouvait la, puis exhaler et s'avancer. Sa démarche était fière et assurée, et l'homme apprécia la différence vis à vis de la plupart des autres femmes qui avaient partagé sa vie (et/ou son lit). Ces femmes passaient leur vie la "queue entre les jambes", alors que Sparrow, elle, transpirait d'un sang froid presque animal et qui n'était pas pour lui déplaire. Ainsi, lorsqu'elle parla après avoir clairement envahi son espace personnel, il la cru de suite, et se permit même d'imaginer la course qu'avait dû être le transport de ces 200 kilos de coke. Une pareille quantité ne pouvait clairement être transportée dans un petit cabriolet, mais plutôt dans un van qui, avouons-le, n'était pas des plus aisé à maîtriser en course.

Il ne tiqua pas lorsqu'elle réclama un minimum de $200 000 par mois. A vrai dire, sa seule réaction fut de prendre la main de la jeune femme qui empoignait la cigarette, et de la mener à sa bouche pour lui permettre à son tour de profiter de la nicotine. Avant de libérer sa prise... évaluant les capacités de la jeune femme comme une valeur sûre d'investissement. Pourquoi? Tout simplement parce qu'une personne avec un tel tempérament animal ne pouvait supporter de rester en cage, et donc, était des moins enclins à se laisser prendre. D'autant plus qu'elle semblait nécessiter cet argent et que la capture signifiait l'absence de cachet.

Il ne cilla pas lorsqu'elle exhala une nouvelle fois. A vrai dire, la question se posait: depuis quand arborait-il cette expression figée, sans sentiments?? Difficile à dire. Elle se détourna de lui et s'éloigna vers le canapé, causant un regard impossible à éviter sur les formes voluptueuse de l'arrière de la jeune femme.. Un corps prompt au sport, à la course... Peut-être au sport de combat, qui sait. Mais assurément capable de se défendre corps et âme, ainsi que la marchandise.

"T'emballes pas, chéri. D'abord l'effort, après le réconfort."

Les choses doublaient d'intérêt, désormais. 200 000 dollars n'étaient rien, mais il était néanmoins curieux. Pourquoi avait-elle besoin de tant d'argent? Il se promit de faire lancer une enquête, si elle refusait de répondre à la question. Après tout, il était naturel qu'il sache à quoi son argent servirait... et cela permettrait d'en savoir un peu plus, de ce qui n'était pas dans un dossier, sur la jeune femme... Lentement, il se dirigea à son tour vers son fauteuil et s'y installa nonchalamment avant de claquer des doigts. Une servante, employée aux cuisines, immigrante clandestine indonésienne et ancienne maîtresse du propriétaire des lieux, fit son entrée et s'empressa de servir un bourbon à Julian avant de s'enquérir de ce que l'invitée désirait à boire. Elle désirait visiblement faire au plus vite, mal à l'aise devant l'homme qui l'employait.

Une fois qu'elle fut sortie, après avoir préparé la consommation de Judith, Julian brisa le silence en ces termes:


"Il n'y a qu'une règle: je dicte, tu exécutes. Le cachet suivra. Tu n'as pas à te soucier de la logistique, ou quoi que ce soit d'autre, je préparerais tout ça. Tu recevras un itinéraire de base, que tu es libre de changer un minimum en fonction de la 'flicaille' et autre souci que tu peux rencontrer en cours de route. Une heure limite de livraison sera délimitée et tout retard entraînera un retrait sur le salaire, pour compenser. Le matériel que tu utiliseras la plupart du temps sera le mien. Libre à toi de faire de nouvelles demandes, après tout, c'est toi la pro de la mécanique. Mais tout matériel utilisé sera marqué.
Une chose que je n'ai pas encore déterminé encore, c'est si je suis en droit de te laisser aller et rentrer chez toi, ou si je dois t'assigner une chambre dans cette résidence..."
dit-il simplement.

Julian la scruta attentivement, tout du long de ses paroles son ton avait été égal, tout en laissant deviner que tout désaccord lui coûterait une balle, laquelle trouverait un écrin délicat, chauffé à 37° degré Celsius. D'un nouveau geste de la main, comme s'il indiquait à quelqu'un d'avancer, l'agent était de retour et se plaça aux côtés de Judith, lui présentant à la fois une version écrite de l'accord qui se discutait, une avance sur salaire, et un pistolet injecteur destiné à implanter une micro-puce sous-cutané, accordant à Julian une couverture mondiale par satellite.

"Pour notre sécurité à tous les deux..."
ajouta-t-il froidement en avalant une nouvelle gorgée de scotch.... La règle était simple et pareille pour tous, Si Judith refusait, l'argent resterait bien au chaud là où il est actuellement.
Revenir en haut Aller en bas
https://hackers-revenge.forums-actifs.com/passeports-admis-f39/ju
Judith Sparrow
¤ Savage Woman ¤
Judith Sparrow


Féminin Nombre de messages : 12
Age du perso : 24 ans
Localisation : Sur les routes, baby !
Métier (talent particulier) : Drivers
<u><b>Casier Judiciaire</b></ : Trois mois de prison pour conduite en état d'ivresse, un mois avec sursis pour non port de la ceinture, deux mois pour excès de vitesse agravée. Un mois avec sursis pour outrage à agent. Un an de prison ferme pour recel de matériel volé, puis trois ans de prison pour passage de drogue à la frontière, relachée pour bonne conduite.
<b><u>Relations</u></b> : Son père est mort, elle ignore où se trouve sa mère.
Bosse pour Julian avec qui elle entretient une relations plutôt houleuse. L'aime-t-elle ? Ne l'aime-t-elle pas ? Est-ce uniquement de l'attirance ? Dans ce cas, pourquoi tue-t-elle toutes les conquètes d'un soir de Julian ? ^^

Controleur Judiciaire
Notoriété:
Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] 37179188ua20/100Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] 96534485ww6  (0/100)

Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] Empty
MessageSujet: Re: Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian]   Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] Icon_minitimeSam 21 Juin - 18:45

Judith commençait à apprécier celui pour lequel elle allait certainement bosser. Ce qui était quelque chose de fort rare. D'habitude, ses employeurs n'étaient que des hommes sans intérêt qu'elle manipulait aisément, parfois en se glissant dans leur lit, de qui elle obtenait monts et merveilles et qu'elle jetait lorsqu'un nouveau contrat se présentait à elle. Mais là, elle comprenait que c'était différent. Julian semblait être le genre d'homme malin qui ne se laisse pas mener par le bout du nez et qui est capable sans aucun problème de se débarasser de vous, en faisant croire à un accident, bien sûr. Mais la proximité avec lui la grisait, comme si elle avait encore davantage conscience de sa valeur. Elle voyait parfaitement que son pouvoir de séduction faisait effet sur Julian et elle devait avouer qu'elle n'était pas insensible à son charme, bien au contraire. Mais pas de fantaisie. Judith savait que Julian ne devait pas être quelqu'un de fidèle et d'attentioné. Quoique ? En tout cas, cela tombait bien, elle non plus.
Elle s'était rapproché de Julian, sa main un peu écartée de son visage, la cigarette entre les doigts. Julian, dans un geste lent lui avait pris la main et avait tirer quelques bouffées. Un sourire mutin s'afficha un fois de plus sur les lèvres de la jeune femme. Elle fit demi-tour sans douter un seul instant de l'endroit où glisserait le regard du jeune homme. Cela la fit sourire davantage. Lorsqu'elle s'assit sur le canapé, elle reposa une fois de plus les jambes sur la table. Contrairement à ce que Julian semblait croire, le regard perçant de Judith avait repéré tous les sbires présents, même dans l'ombre, ainsi que les caméras de surveillance. Elle fit un clin d'oeil à l'un des gorilles qui parut mal à l'aise, jetant un oeil anxieux sur son patron. Judith elle-même reporta son attention sur Julian. Celui-ci lui édictait les règles à suivre. Et Judith se doutait bien que ceci n'était pas sujet à controverse. A moins d'avoir des envies de ressembler à de la chair froide. ELle hocha donc la tête, rien dans ce qu'il n'avait dit ne l'ayant choqué. Elle avait simplement tiqué sur la "marge de manoeuvre". Elle crut bon, de préciser


Ce n'est pas un problème. Par contre, que je suive un itinéraire je veux bien mais je désire un maximum de confiance dans nos rapports. Si je vous conseille une voie plutôt qu'une autre, j'exige seulement que vous en teniez compte.

Effectivement, en tant que professionnelle, elle trouvait normal d'apporter ses remarques techniques et elle refusait de se laisser dicter sa conduite par quelqu'un qui ignorait tout de la route et de la mécanique. Elle n'était pas un mouton. Enfin, le gorille aperçu vint dans la lumière, lui présentant un contrat. Judith le lut avec grande attention et n'y trouvant rien à redire, le signa. Elle en conserva un exemplaire qui lui était destiné. Ensuite, elle vit le pistolet injecteur. Judith, dans un mouvement de rébellion, se leva. Le gorille fit un geste pour poser sa main sur son épaule. Judith tourna vivement la tête vers lui, son regard perçant foudroyant l'homme. Sa voix froide et cruelle cingla le gorille avec une force qui le fit reculer.

Touches moi... Et cette main ne touchera plus jamais rien.

Le gorille reçut l'ordre de se retirer, laissant le pistolet sur la table. Judith observa Julian. Elle savait que la puce lui permettrait de la localiser, y compris si des envies de trahison la prenait. Mais le côté fier et libre de Judith se révoltait à cette idée. Cependant, pour 200 000 dollars... Pourquoi pas ? Elle sourit et se rapprocha de Julian, toujours assis dans son fauteil. Et elle s'assit, à califourchon sur lui, le pistolet injecteur dans la main. Ses lèvres se rapprochèrent de l'oreille de son nouvel employeur et elle sussura d'une voix envoûtante :


Puisque quelqu'un doit toucher ma chair, autant que ce soit toi...

Le tutoiement lui était venu naturellement et il ne sembla pas s'en offusquer. Judith lacha le pistolet. Une petite piqûre. C'était fait. Le pistolet tomba au sol, là au Julian l'avait laché. Judith resta assise sur lui et plongea son regard dans le sien, un sourcil levé comme en matière d'invite, un sourire plein de propositions sur le visage. Des caméras de surveillance dans la pièce ? Et alors ?
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] Empty
MessageSujet: Re: Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian]   Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Rencontre avec son éventuel employeur [pv Julian]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Julian Van Pelt
» Julian Van Pelt
» Un rp avec le chauve ?

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Hacker's Revenge :: 
$ Den of the Traitor $
 :: The Devilishs
-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser