Après le travail [Pv: Edith]

La pluie n’avait cessé depuis ce matin. Sandy regarda la pluie tombée. Ce n’était pas son jour de chance. Elle sortit finalement du tribunal pour rester adossé contre un pilier de celui-ci, étant ainsi un minimum à l’abri de cette forte pluie. Plusieurs personnes sortir avec leur parapluie grognant contre ce temps alors que nous n’étions quand été. Un soupir s’échappa des lèvres de Sandy. Elle n’avait pas de parapluie. Elle l’avait oublié chez elle. Et si elle ne se décider pas à prendre un taxi elle serait alors trempée de la tête au pieds quand elle pousserait la porte de son appartement.
Cela faisait bientôt dix minutes qu’elle était comme ça. Elle n’avait pas vraiment envie de prendre un taxi, et c’était de même pour l’idée de se faire tremper par cette pluie. Quelqu’un l’interpella alors, lui proposant de la raccompagner. Elle déclinât l’offre poliment. En réalité elle était un peu pensive. Elle se rappeler sa mère. Cela faisait longtemps qu’elle n’était pas allait la voir dans sa maison de repos, mais il faut dire elle n’avait pas eu trop le temps. Le travail l’avait bien occupé ces temps-ci. Elle se promit d’allait la voir ce week-end. Elle s’installa au sol se disant qu’elle allait attendre que la pluie se calme un peu ainsi elle rentrerai chez elle en étant pas trop mouiller.

Edith marchait dans un couloir du tribunal qui allait la mener au grand hall d'entrée et finalement la sortie. Elle n'aimait pas vraiment les tribunaux. Il pouvait défaire ses efforts et ses prises par de bons avocats et des tours de passe-passe. Mais la loi étant la loi elle n'avait pas vraiment le choix que de faire avec.
Le hall d'entrée était peuplé de gens qui hésitait à sortir tout de suite ou à attendre que la pluie se calme un peu. Edith ne se formalisa pas de cette question, elle allait sortir qu'il pleuve ou non, il y avait bien trop de monde dans cet endroit.
Une fois sur les marches elle apreçut une figure féminine connue le long d'une colonne imposante. Sandy Whiteman. Elle avait déjà traité plusieurs affaires avec cette juge et elle l'aimait bien. Comme elle n'était pas pressée, elle décida d'aller lui dire bonjour.
Elle s'approcha lentement, une fois proche elle resta debout et comença à parler.

Bonjour. Pas envie de se faire mouiller ?

Elle sourit.

Sandy était complètement plongée dans ses pensées. Elle n’avait pas vu que le temps c’était amélioré et que quelqu’un c’était approché d’elle. Ce fut seulement quand cette personne lui adressa la paroles qu’elle sortit de son monde à elle.
Elle leva donc la tête afin de voir qui c’était. Elle reconnue alors la personne en question. Edith Sirvel. C’était un membre du FBI. Elle était assez douée. Sandy avait travaillé plusieurs fois avec elle est n’avait jamais regretter le résultat.
« Bonjour. Pas envie de se faire mouiller ? »
Oui elle n’avait pas vraiment envie. Enfin ce n’était pas tant qu’elle n’avait pas envie mais l’idée ne l’enchanter pas non plus.
« Bonjour Agent Sirvel. Bof, on va dire que l’idée de se faire tremper ne m’enchante pas. Et vous je suppose que vous sortez d’une affaire ? »
Elle la regarda en souriant doucement. Elle arrêta alors de penser à sa mère et son père et retourna à la réalité pour de bon. Après tout elle aimait bien parler avec les gens qu’elle appréciait et Edith en faisait partie.

Edith sourit à cette remarque. Elle ne pouvait faire que cela dans un tribunal. Mais c'était une façon comme une autre de démarrer la conversation.

Oui, la routine habituelle.

La pluie commençait à diminuer de plus en plus, elle n'était presque plus perceptible, mais le froid lui était toujours là et commençait à s'installer. Edith regarda un instant les alentours et repéra un café juste en face du tribunal à une distance tout à fait raisonnable.
Elle ne détourna pas les yeux du café en commençant à parler.

Envie d'une boisson chaude pour se réchauffer.

Elle tourna alors la tête vers Sandy. Elle n'avait pas l'habitude d'inviter les gens à partager un café avec elle comme ça, mais elle avait une arrière pensée qu'elle préfèra expliquer tout de suite.

Je pensais qu'on pourrait parler de l'affaire Cooper ou Lancaster. Je sais bien qu'ils sont d'honnête citoyens, une point d'ironie était clairement lisible dans sa voix. J'aimerais juste avoir quelques renseignements sur le meilleur moyen de les amener en justice, parler un peu stratégie. Sa voix était à nouveau professionelle. Savoir un peu les plus hautes peines qu'ils pourraient avoir, sous quelles conditions, etc...

Elle regardait toujours Sandy, attendant une réponse. Positive ou négative ça n'avait pas tellement d'importance. Elle allait boire un café quoiqu'il arrive dans cet établissement non loin du tribunal.

» Edith Sirvel
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